Thursday, January 10, 2008

Un exemple de racisme anti-blanc: la pochette de Ice-T



Cette pochette est extrêmement révélatrice de la haine et du mépris qu’éprouvent les rappeurs afro-américains pour les petits “diables blancs” de la classe moyenne qui achètent leurs CD.

Au premier plan : un jeune “whigger” (”white nigger”, littéralement “nègre blanc” : qualificatif méprisant donné par les afro-américains aux jeunes blancs qui tentent de singer leur comportement et leurs modes vestimentaires et musicales) blond, sale et mal habillé. Il porte un T-shirt Rasta aux couleurs du reggae. Autour de son cou se balance un pendentif représentant l’Afrique et ses couleurs. Près de lui, sur le sol à droite, on aperçoit - volontairement mal dessinée - une pipe pour crack sensée représenter la source financière des gangs auprès du “sale blanc”, un joint roulé et une bouteille de soda percée servant à la “fumette”. A ses pieds sur sa gauche sont étalés des livres, dont celui de Malcolm X (largement entamé) qui représente la propagande “anti-raciste” favorisant en fait le racisme anti-blanc. A sa droite sont répandues au sol une multitude de cassettes de rap de Ice-T (achète, achète petit blanc !).

L’esprit du jeune déraciné blanc est complètement sous la domination du rappeur au regard hypnotique. Celui-ci lui impose sa volonté, symbolisée par les ondes cérébrales, sortes de volutes de fumée (de crack, de cannabis ?) qui sortent des yeux de Ice-T pour pénétrer dans le cerveau de son jeune fan via les écouteurs du walkman.

Pendant ce temps, à l’arrière plan, se déroule, sous le regard satisfait de “l’artiste” une scène d’effraction et de violences commise par trois jeunes noirs. Le premier, armé, fracture la porte. Un autre, encagoulé, commence à violer la mère du jeune “whigger” pendant qu’un troisième fracasse le crâne de son père à coups de crosse de fusil d’assaut automatique (armes répandues dans ces milieux).

La symbolique est claire : Alors qu’Ice-T a pris le contrôle du cerveau du jeune blanc grâce au rap, aux lectures ethnomasochistes et aux drogues qu’il lui a vendu, ses frères de race afro-américains pillent la maison de celui-ci et massacrent sa famille sans susciter la moindre réaction de sa part. Le rap, la propagande et la drogue ont annihilé chez lui toute fierté masculine, toute volonté de résistance. Il aurait dû être un jeune guerrier défendant son territoire et son clan. Il n’est plus qu’un zombie amorphe, à la merci de ses nouveaux maîtres.

1 comment:

L.W.F. said...

Que dire ? Des milliers de nos jeunes "Gauloi(se)s" vivants dans ces "banlieues opprimées", sont pris en otages à la fois par cette sous-culture cosmopolite, et par ses avatars (drogue, prostitution, couples mixtes, etc...) et cela est encouragé par toutes les tendances politiques, hormis celle qui a juré fidélité au vitalisme Européen !!!

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